Un jour de septembre,Le soleil s’élève et ne laisse un ombre,
Les montagnes s’étendent infiniment,
La mer semble calme mais au fond,
Elle s’agite comme un volcan,
Sous la chaleur du midi,
D’un pays maudit,
Il s’élève pour nous brûler,
Nous sommes condamnés,
Laisse moi respirer,
Je suis étouffé,
Je désespère.
Un cri s’efforce pour sortir,
La douleur me déchire,
Libère moi,
Ici la torture est loi,
Mais tu vois,
Je sais ce que tu voudras,
Mais l’espoir ne me lâchera,
Tu m’as accablé de ta détresse,
Parce que la solitude est ta faiblesse,
Tu pense que sa me blesse,
Je ne me cède pas à tes caresses,
Le désire est fou.
